Sur le plateau, l’automne poursuit sa route. Les filles du feu de Nerval sont passées par-là. Elles ont laissé leurs longues chevelures fauves, dorées et brunes. Les sous-bois sont comme des toiles de Klimt. Les[…]
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Sur le plateau, l’automne poursuit sa route. Les filles du feu de Nerval sont passées par-là. Elles ont laissé leurs longues chevelures fauves, dorées et brunes. Les sous-bois sont comme des toiles de Klimt. Les[…]
Depuis deux jours, Fantôme et moi évoluons entre les pages du « Grand Meaulnes » et celles d’« Aurélia ». Au début de notre promenade, le brouillard est si dense que nous ne discernons pas les contours du plateau.[…]