« Doudou! Doudou!J’ai perdu mon doudou! ». Cette phrase, combien de fois, a-t-elle résonné à nos oreilles de parents devenus par la faute de Donald Winicott les victimes consentantes du fameux « objet transitionnel »? La petite[…]
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Chronique métropolitaine
Une fin de matinée, dans le métro, ligne 5, ligne orange : place d’Italie/Bobigny. Les fenêtres de la rame sont toutes ouvertes. L’air fait voler les cheveux et trembler les pages des magasines. Les passagers ont[…]
Chronique enfantine d’un été provençal
Quand nous quittions l’autoroute, à hauteur de Bollène, la journée était déjà bien avancée. Après des heures d’un ennui mou, nous reprenions vie. Une belle fumée blanche s’élevait dans un ciel limpide au-dessus des réacteurs[…]
Chronique d’une ombre sur Roland Garros
Lundi de Pentecôte. Le soleil finit de se lever sur les courts de Roland Garros. Tout le monde se réjouit : la quinzaine brille. Le temps ne joue pas la Carabosse. Pas d’interruption de partie. Pas[…]
Chronique d’un départ bressan et d’un retour andalou
Dans quelques jours, elle sera rentrée chez elle, dans un petit village andalou, à côté de Séville. Elle tourne dans une valse aux au revoir qui a le rythme d’un flamenco des adieux. Elle a[…]
chronique en forme d’expérience yogesque
Si vous avez suivi mes aventures précédentes, avec le sérieux qui s’imposait, et que vos neurones sont aussi bien huilées que celles de Sharon Stone, vous devez vous rappeler qu’à l’âge de vingt ans, je découvrais le grand[…]
Chronique pour les personnes souffrant d’un syndrome du départ
Il y a peu, je vous gratifiais d’une chronique capillaire. Les nuits dernières, je rendais un hommage vibrant à Brel en écoutant pousser mes cheveux, et songeais, déjà, à ce long week-end qui se profilait.[…]
Kronos capillaris (chronique capillaire)
« Mais, tu as vu à quoi je ressemble ? Ce n’est pas possible ! Elles n’en font jamais qu’à leur tête ! Elles n’écoutent rien ! C’est à croire qu’elles sont toutes sadiques et qu’elles veulent juste te rendre[…]
Chronique des jours fériés, des universités fermées et de la famille fenouillard
Le 1er mai s’en est allé, emportant avec lui, son chapelet de mécontents en tout genre avec banderoles à la facture artisanale ou élaborée, slogans chocs, poings levés et, parfois, échauffourées avec les forces de[…]
Comme un dimanche 9 mai 1999
Le dimanche 9 mai 1999, je me suis levée sans me douter que plus rien ne serait jamais comme avant. Notre père était en réanimation depuis lundi. Les médecins avaient laissé entendre que si, d’aventure,[…]