Chronique du lundi de Pâques autour des 15 ans de Victoire et d’un vieux souvenir parisien
Depuis que je suis enfant, c'est la toute première fois que je n'ai plus de projets, que je n'ouvre plus de fenêtre dans mon cerveau. Je ne vais pas au-delà…
Depuis que je suis enfant, c'est la toute première fois que je n'ai plus de projets, que je n'ouvre plus de fenêtre dans mon cerveau. Je ne vais pas au-delà…
A quatre heures, j'ai été réveillée assez brutalement. Le train venait de freiner. Le contrôleur toujours sanglé dans son éternel uniforme impeccable est venu tambouriner à la porte et m'intimer…
Un vent violent balaie le plateau depuis hier soir. La semaine passée, j'avais promis aux enfants une soirée pleine de vie pour briser la monotonie de notre confinement. Vendredi, Victoire,…
Cinq heures, Paris s'éveille comme dans la chanson de Dutronc. Ce qui est faux car Paris, habituellement, ne dort jamais ou alors, vaguement, comme un chat, d'un seul oeil. Privée…
Dans ma dernière chronique, j'expliquais que c'était sur la foi des propos rassurants des professeurs de médecine que ce nouveau virus ne m'avait durablement inquiété. Je pensais seulement que les…
Etant par essence une personne optimiste et lisant des entretiens accordés à des journalistes par des professeurs de médecine se montrant objectivement rassurant, je ne décolérais pas contre le battage…
Dimanche matin. Je recherche dans mes archives des chroniques dédiées aux droits des femmes. Il y en a plusieurs. Je choisis celle-ci écrite justement un dimanche alors qu'Emmanuel Macron avait…
4 heures du matin. Les enfants et moi avons enregistré nos billets aux bornes. Orly ne dort jamais comme tous les grands aéroports. J'observe toute cette vie autour de nous:…
L'activité au cabinet est souvent anarchique. Avec le temps, je devrais avoir appris à prendre du bon côté les semaines calmes et savoir les employer pour écrire ou faire des…
Lundi, le vent souffle encore avec force sur le plateau où il s'engouffre tel le Mistral dans le couloir rhodanien. Quand, avant sept heures, avec Céleste, j'ai emprunté la petite…