« Bon Dieu ! Des grèves, dans un si petit pays ? N’est-ce pas ridicule en même temps qu’inquiétant ? Pourquoi donc ? Pour faire comme font les autres, là-bas, par-delà les flots de l’Atlantique, pour marcher sur les pas[…]
chronique en forme de reconnaissance de paternité
J’ai trouvé un second père, il s’appelle Jacques Prévert Grâce à un cadeau de mon mari, fait dans le prolongement d’une redécouverte de Prévert liée à l’écoute, en boucle, dans ma voiture, de « l’addition »[…]
Chronique d’un Paris continental
Lundi 12 janvier. Plus d’une heure pour arriver place de la Nation. 40 minutes à poireauter sur le quai du RER B, comme des dizaines d’autres qui sont bientôt des centaines, dans cette gare aux[…]
Chronique des amours capitales (suite et fin)
Me voici donc, à la presque dixième heure d’un jour désormais blanc, à monter cet escalier qui conduit au tout petit appartement que j’ai occupé pendant une courte année. Le vilain lino, jaune/orangé bas de[…]
chronique des amours capitales (épisode n°3)
A la huitième heure d’un jour grisé, je remonte le boulevard Ménilmontant en direction de la place de la Nation. A cette heure de grande affluence, les rames de métro se remplissent de salariés du[…]
Chronique des amours capitales (épisode n°2)
Boulevard Ménilmontant. Aux premières heures d’un jour bleuté, j’émerge du ventre du métro. Le bar-tabacs où j’achetais mes Marlborough light quand le « Royal Bleuets » était fermé, angle gauche Ménilmontant/Oberkampf, a été remplacé par une sorte[…]
Chronique des amours capitales (première partie)
Trop courte escapade parisienne. Trop brève respiration capitale. Ces deux jours comme un pèlerinage à Paris, ou plutôt aux Paris car il n’y a pas un Paris mais des Paris comme il n’y a pas[…]
Chronique du temps de l’Avent et du temps de l’Après
Il fait doux ce matin. Luminosité faible. On avance vers le premier dimanche de l’Avent. Les villes sortent leurs habits de fête mais les habits brillent moins d’année en année…Le long des façades des barres[…]